Archives par mot-clé : VALÉRIE ZENATTI

Décapage n°67


Abonnement Découverte N°67


Parution le 17 mai 2023

Les Chroniques

Le Journal littéraire
Laurent Quintreau
Regard
Aymeric Patricot
Professeur-écrivain : sacrée double casquette !
L’Interview imaginaire
Colette nous reçoit route des Canoubiers, à Saint-Tropez.
La Pause 
Alban Perinet et Jean-Baptiste Gendarme ont lu la biographie de Georges Lambrichs d’Arnaud Villanova
Posture (et imposture) de l’homme de lettres
Jean-François Kierzkowski
Leçon de séduction à l’usage des auteurs et de leurs éditeurs.
Notes et propos
Patrice Jean
Contre les ateliers d’écriture.
Et moi, je vous en pose des questions ?
Nicolas Fargues
Presque tout savoir sur l’auteur en moins d’une minute, montre en main

Ajoutez votre titre ici

Le dossier thématique

« Le livre que je ne pensais
pas écrire »

Les journalistes l’ont mentionné et il l’a dit lui-même : son ambition était
d’écrire « un petit livre souriant et subtil sur le yoga ». Au final, Emmanuel Carrère a raconté son combat contre la dépression. Le roman s’appelle quand même Yoga (Éditions POL, 2020).
Parfois, on commence un projet avec une idée précise en tête et au fil de l’écriture on découvre que c’est un autre livre qui est en train de naître.
Peut-on tout prévoir ? Comment on tient le fil de son histoire ? Comment on commence et comment on termine ? Comment s’écrit un roman ?
Douze écrivains reviennent sur l’imprévisibilité de la création et évoquent ce livre qui ne ressemble pas du tout à l’idée qu’ils en avaient avant de le commencer.

Cécile Ladjali
Claro
François-Henri Désérable
Karine Tuil
Mark Greene
Maria Pourchet
Patrick Autréaux
Salim Bachi
Raphaël Meltz
Valentin Retz
Valérie Zénatti
Yves Ravey

La Panoplie littéraire

Dès l’âge de sept ans, Catherine Cusset a su qu’elle voulait devenir écrivain, elle a fait des études littéraires et une thèse sur Sade – elle a enseigné la littérature du XVIIIe siècle à l’Université de Yale pendant douze ans –, son premier texte a trouvé une place dans la revue de Philippe Sollers, L’Infini, à l’été 1986. Son premier roman, La Blouse romaine, viendra quatre ans plus tard : elle n’a que 27 ans.

Depuis, Catherine Cusset qu’on associe souvent – et un peu trop rapidement – à l’autofiction a écrit 17 livres, qu’elle classe en « romans autobiographiques », « autofictions »,
« vrais romans » et « romans vrais ». À chaque fois, on trouve la même quête de la vérité émotionnelle : le désir permanent de saisir l’âme humaine au plus près, de creuser les rapports intimes, sans jugement.
Livre après livre, on est toujours autant séduit par son efficacité narrative, son sens de la mise en scène, son écriture au cordeau, et ce regard qui fait mouche quand il s’agit d’épingler la complexité des sentiments.
Catherine Cusset invite nos lecteurs à se glisser dans les coulisses de son travail d’écrivain.

Illustration d’Elise Jeanniot pour la nouvelle d’Alexis Ferro

Créations

Alexis Ferro
L’Italie à mes pieds – Partie III, Assise.
Histoire en trois parties illustrée par Élise Jeanniot
Patrice Pluyette
Tu ne te conformeras point à ce monde qui t’entoure
Nouvelle illustrée par Boll
Jean-François Santolini
Victor Plumel
Nouvelle illustrée par Maya Brudieux


Abonnement Découverte N°67


Numéro 64 octobre 2021

PARUTION FIN OCTOBRE 2021

 

Les Chroniques

Le Journal littéraireMaria Pourchet
Le début de l’été avec l’auteure de Feu.
Regards
Pourquoi persister ?
Dan Nisand se demande pourquoi écrire.
Un saut chez Ricciotti
Une rencontre sous le soleil menée par Julien Battesti
L’Interview imaginaire  Henry David Thoreau
Une discussion nature avec l’auteur de La Désobéissance civile et Walden.
Posture (et imposture) de l’homme de lettres  Jean-François Kierzkowski
Faut-il devenir sexy ?
L’Air Vilain • Philippe Vilain
Avoir un bon sujet
Et moi, je vous en pose des questions ?Jean-Baptiste Del Amo
Tout savoir sur l’auteur en moins d’une minute, montre en main

 

 

Les réseaux sociaux et moi!

En France, comme à l’étranger, on peut suivre son écrivain préféré sur les réseaux sociaux, lui envoyer un message, se lancer dans une grande conversation sans aller le rencontrer en librairie (ni même lire son livre), suivre son travail en cours et voir ses photos de vacances ou son dernier coup de coeur théâtre.
Fini l’écrivain dans sa tour d’ivoire qui attend l’inspiration ?
Pas si sûr. Si certains s’exposent sur les réseaux, s’en servent pour faire la promotion, pour échanger avec leurs lecteurs, ou pour expérimenter une forme de création, d’autres ne sont pas présents sur la Toile – ou ont pris la décision radicale de fermer leurs comptes.
Les réseaux sociaux : simple occupation, façon de meubler les temps morts, fenêtre sur l’époque, mise en scène de soi, véritable addiction ?
15 écrivains reviennent sur ce que la pratique – ou l’observation – des réseaux sociaux leur inspire.

Avec :
Blandine Rinkel,
Carole Fives,

Denis Michelis,
François-Henri Désérable,
Julia Kerninon,
Laurent Sagalovitsch,
Lisa Balavoine,
Marc Pautrel,

Olivier Liron,
Patrice Pluyette,

Pauline Delabroy-Allard,
Raphaël Meltz,
Thomas Vinau,

Valérie Zenatti,
Yves Pagès.

La Panoplie littéraire
Marie-Hélène Lafon

Entrée en littérature sur le tard, elle a petit à petit imposé sa voix. Dans le JDD (en 2016), Bernard Pivot : « L’écriture de Marie-Hélène Lafon est dure. Tenue, acérée, impitoyable. Mais aussi visuelle, sensuelle, avec, comme dans le regard des femmes, des éclairs de cruauté et de compassion. » Marianne Payot dans L’Express (2020) :
« Aucune graisse mais beaucoup de chair » dans ses textes. Les personnages de ses romans vivent en nous, comme les membres de notre famille qu’on ne fréquente plus mais à qui on continue de penser. Ses lecteurs se reconnaissent entre eux et dans ses livres. Beaucoup lui écrivent de longues lettres, bouleversés par ses romans. Marie-Hélène Lafon sait ce qu’elle doit à chaque lecteur et aussi aux libraires.
Pour tous, elle dresse sa Panoplie en toutes lettres, de A à Z.

© BAUDOUIN

Création

Erwan Desplanques
L’homme debout
Une nouvelle illustrée par Jean-Rémy Papleux
Georges Picard
L’intellectualité arrogante
Une nouvelle illustrée par Élise Jeanniot
Guillaume Tavard
C’est plus simple comme ça
Une nouvelle illustrée par Maya Brudieux

Abonnement découverte : n°64, 16 euros

Abonnement trois numéros (64 + année 2022) : 45 euros

LE NUMÉRO 53

 

CHRONIQUES

Le Journal littéraire 
Alice Zeniter Quelques jours avec l’auteur de Juste avant l’Oubli (Flammarion, 2015)
Regards #1
Erwan Desplanques
Que fait l’auteur quand il est absent de Paris?
Regards #2
Pierre Ducrozet Où l’auteur démontre que Jean-Michel Basquiat est un grand écrivain sans livre
L’Interview imaginaire
Louis-Ferdinand CélineUne conversation avec Céline, un poil grincheux
La Pause
Alban Perinet et Jean-Baptiste Gendarme 
La meilleure façon de faire lire un livre, c’est d’en parler
À vos idoles
Valérie ZenattiUne lettre pour Charlotte Delbo 
Postures (et impostures) de l’homme de lettres
Jean-François Kierzkowski
Ceux qui parlent comme ils écrivent 
Et moi je vous en pose des questions ?
Bernard Quiriny
Tout savoir sur l’auteur en moins de soixante secondes
 
THÉMATIQUE
Le jour où mon manuscrit a été accepté
Treize écrivains reviennent sur ce jour sacré où leur livre à été béni par un éditeur
Avec :
Antonia Kerr
Carole Fives
Clément Bénech
Emmanuel Adely
Éric Holder
François Bégaudeau
François-Henri Désérable
Iegor Gran
Jean-Philippe Blondel
Nathalie Kuperman
Patrick Goujon
Valentin Retz
Xabi Molia
LA PANOPLIE LITTÉRAIRE
Maylis de Kerangal
Livre après livre, Maylis de Kerangal construit une grande oeuvre protéiforme.
Entre un voyage en Amérique du Sud et un séjour en Allemagne, elle nous a ouvert les portes de sa « chambre » pour nous plonger dans son univers et nous parler de son métier d’écrivain.
CRÉATIONS
Des nouvelles illustrées et cent pour cent inédites.
Jean Grégor
Thomas B. Reverdy
Robert Benchley
Thomas Vinau
Alexis Barthet