Archives par mot-clé : GUILLAUME TAVARD

Numéro 63
DÉCAPAGE 63

LES CHRONIQUES
Le Journal littéraire
Nathalie Kuperman
Un voyage dans le temps avec l’auteur de On était des poissons
Regards
#1. 6 septembre 2018 13
Une journée dans la vie d’Olivier Liron
#2. Pour le livre 20
Une exploration avec des chiffres et des lettres
d’Olivier Bessard-Banquy
La Pause
Alban Perinet et Jean-Baptiste Gendarme
Où l’on parle de quelques livres…
L’Interview imaginaire
Henri Calet
Une discussion optimiste avec le romancier réaliste des « sales petites vies »
Posture (et imposture) de l’homme de lettres
Jean-François Kierzkowski
Du sexe en littérature
L’Air Vilain
Philippe Vilain
Lire, dit-il
Thématique
Écrivains : vos carnets
s’il vous plaît !
Une plongée dans l’intimité de la création grâce à l’exploration des carnets d’écrivains.
Carole Fives
Clément Bénech
Clément Ribes
Colombe Boncenne
Éric Chevillard
Éric Laurrent
François-Henri Désérable
Jakuta Alikavazovic
Julia Kerninon
Patrick Goujon
Simon Roussin
Sylvain Prudhomme
Vincent Almendros
La Panoplie littéraire d’Yves Ravey
Discret et pudique, écrivain d’une vingtaine de livres aux Éditions de Minuit, il se prête au jeu de l’autoportrait et explore ses archives, sa bibliothèque, évoque son rapport à l’écriture et nous parle de son métier.
Création
Quentin Desauw
Une vieille histoire de famille
Une nouvelle illustrée par Marion Bucciarelli
Phil Guénin
La voix de Béatrice
Une nouvelle illustrée par Elise Jeanniot
Philippe Béon
Fallait le dire !
Des microfictions illustrées par Maya Brudieux
Guillaume Tavard
Joyeux anniversaire, Gwendoline
Une nouvelle illustrée par Elis Wilk
Numéro 57

Le Journal littéraire
Vincent Delecroix
Un journal à lire avant la fin du monde
Regards
#1 Philippe Forest
Des conseils aux auteurs qui voudraient écrire sur des peintres
#2 Olivier Bessard-Banquy
Une brève étude historico-comparative de l’édition
L’Interview imaginaire
Henry Miller
Une conversation détonante avec Henry Miller
Et moi, je vous en pose des questions ?
François-Henri Désérable
Tout savoir sur l’auteur en moins d’une minute, montre en main
Pour remonter le moral de l’auteur
Iegor Gran
Quelques conseils pour ne pas sombrer dans la neurasthénie
Notes de bas de page & poils de chèvre
Arthur Devriendt
La chronique sens dessus dessous
Posture (et imposture) de l’homme de lettres
Jean-François Kierzkowski
Quand les auteurs s’engagent…
La Pause
Alban Perinet et Jean-Baptiste Gendarme
La thématique
« Ces livres qu’on ne lit pas »
Intéressons-nous aux livres que les écrivains ne lisent pas mais qu’on trouve quand même dans leurs rayonnages. Comment sont-ils arrivés là ? Cadeaux ? Achats compulsifs ? Promesse d’une lecture prochaine ? Et pourquoi les gardent-ils ?
Avec : Agnès Mathieu-Daudé, Alice Zeniter, Grégoire Polet,
Julia Kerninon, Lydie Salvayre, Maria Pourchet, Pierric Bailly,
Thomas Vinau, Valentin Retz…
La Panoplie Littéraire
Carte blanche à Jean-Philippe Toussaint
Création
Sara-Ànanda Fleury
Néon Bible
Nouvelle illustrée par Floriane Ricard
Steve Tesich
Mariage en dilettante
Nouvelle traduite de l’anglais (États-Unis) par Yoko Lacour
et illustrée par Elis Wilk
David Thomas
Mondialisation et autres textes
Microfictions illustrées par Maya Brudieux
Elis Wilk
Contact : http://eliswilk.ultra-book.com/

http://eliswilk.ultra-book.com/









Contact : http://eliswilk.ultra-book.com/
LE NUMÉRO 54

Lise Charles
Julien Blanc-Gras
Une analogie entre les perches du Nil et l’industrie du livre
Notes de bas de page & poils de chèvre
Comment reconnaître un bouddhiste près de chez vous ?
L’Interview imaginaire
William Faulkner
Une lettre pour Sherlock Holmes
Jean-François Kierzkowski
Et moi je vous en pose des questions ?
Romain Monnery
Dominique Noguez
Maria Pourchet
Carole Zalberg.
LA PANOPLIE LITTÉRAIRE
Jérôme Ferrari
« Entre 2001 et 2015, j’ai vécu dans cinq villes différentes : Porto-Vecchio, Alger, Ajaccio, Abu Dhabi et Paris, avant de revenir à Ajaccio. Je suis retourné très régulièrement dans ma maison de Fozzano et j’ai voyagé dans de très nombreux pays, surtout dans le monde arabe. J’ai donc écrit mes romans là où je me trouvais. Mes livres sont la seule chose dont j’ai vraiment besoin pour me sentir chez moi. Le reste ne m’importe pas. Je n’ai jamais eu besoin de rituels, pas même de calme. Je pourrais dire que mon rapport à l’écriture n’a rien de religieux. Le terme même d’écrivain me paraît dépourvu de signification et n’a jamais suscité de fantasmes ontologiques – je n’ai jamais rêvé d’ « être un écrivain », seulement d’écrire des romans. Et quand je n’ai pas de roman à écrire, je n’écris rien. Je ne peux me consacrer réellement qu’à un projet précis. Encore faut-il que j’aie eu le temps de l’élaborer. Avant de commencer un texte, je dois savoir où je vais. Il ne s’agit pas de composer un plan ou de quoi que ce soit de scolaire mais plutôt d’établir un dispositif littéraire dans lequel les différents fils narratifs sont convenablement agencés. Élaborer ce dispositif me prend souvent plusieurs mois au terme desquels je peux enfin commencer à écrire. Je m’y consacre alors de manière presque obsessionnelle, quel que soit l’endroit où je me trouve. Je n’ai donc aucun bureau à montrer, aucune pièce privilégiée, aucun objet fétiche. Je peux seulement évoquer les lieux, les livres et les êtres humains sans lesquels, je le crains, je n’aurais jamais pu écrire quoi que ce soit. » Jérome Ferrari
Thomas Vinau
Steve Tesich
Arnaud Modat
Guillaume Tavard